Toulouse veut l'Euro 2016
Le maire de Toulouse Pierre Cohen a indiqué lundi aux autorités du football français que la ville rose allait "examiner avec sérieux" dans les prochaines semaines le coût des travaux à réaliser pour pouvoir accueillir des matches de l'Euro-2016.
Le président de la Fédération française de football Jean-Pierre Escalettes et celui de la ligue professionnelle Frédéric Thiriez poursuivaient à Toulouse le tour de France des 16 stades susceptibles d'accueillir des matches de l'Euro-2016 dans le cadre de la candidature française.
"Toulouse a la volonté de recevoir les grands événements, mais ce projet reste un investissement lourd pour la ville", a déclaré Pierre Cohen. "La nécessité de porter la capacité du Stadium à 35.000 places (contre 30.000 actuellement) nous oblige à engager de gros travaux d'infrastructures, mais pas irréalisables", a-t-il précisé.
Le maire a fait part de son intérêt pour l'opération en déclarant: "La mairie examinera avec sérieux cette candidature et une première réponse devrait intervenir dans quelques semaines."
"On comprendrait mal que le sud-ouest ne soit pas partie prenante dans cette grande compétition : le cahier des charges est musclé mais je pense que c'est un moyen de mettre nos installations aux normes européennes, on sent à Toulouse ce frémissement pour un tel événement", a déclaré M. Escalettes.
"Si on lance ce projet, c'est pour le gagner. L'âge moyen de nos stades est de 66 ans: ne ratons pas l'occasion d'organiser cet euro et de rattraper le retard de nos infrastructures", a estimé de son côté le président de la LFP.
Le dossier final français, qui doit être présenté à l'Union européenne de football le 15 février 2010, devrait comprendre 9 stades.
Le comité exécutif de l'UEFA tranchera le 27 mai 2010 entre les quatre candidatures: la France, l'Italie, la Turquie, et la Norvège associée à la Suède.
Le cahier des charges de l'UEFA impose deux stades de plus de 50.000 places, trois de plus de 40.000 et quatre de plus de 30.000 places (avec à chaque fois 7 à 8% de capacité supplémentaire liée aux tribunes officielles ou à la presse).
Le président de la Fédération française de football Jean-Pierre Escalettes et celui de la ligue professionnelle Frédéric Thiriez poursuivaient à Toulouse le tour de France des 16 stades susceptibles d'accueillir des matches de l'Euro-2016 dans le cadre de la candidature française.
"Toulouse a la volonté de recevoir les grands événements, mais ce projet reste un investissement lourd pour la ville", a déclaré Pierre Cohen. "La nécessité de porter la capacité du Stadium à 35.000 places (contre 30.000 actuellement) nous oblige à engager de gros travaux d'infrastructures, mais pas irréalisables", a-t-il précisé.
Le maire a fait part de son intérêt pour l'opération en déclarant: "La mairie examinera avec sérieux cette candidature et une première réponse devrait intervenir dans quelques semaines."
"On comprendrait mal que le sud-ouest ne soit pas partie prenante dans cette grande compétition : le cahier des charges est musclé mais je pense que c'est un moyen de mettre nos installations aux normes européennes, on sent à Toulouse ce frémissement pour un tel événement", a déclaré M. Escalettes.
"Si on lance ce projet, c'est pour le gagner. L'âge moyen de nos stades est de 66 ans: ne ratons pas l'occasion d'organiser cet euro et de rattraper le retard de nos infrastructures", a estimé de son côté le président de la LFP.
Le dossier final français, qui doit être présenté à l'Union européenne de football le 15 février 2010, devrait comprendre 9 stades.
Le comité exécutif de l'UEFA tranchera le 27 mai 2010 entre les quatre candidatures: la France, l'Italie, la Turquie, et la Norvège associée à la Suède.
Le cahier des charges de l'UEFA impose deux stades de plus de 50.000 places, trois de plus de 40.000 et quatre de plus de 30.000 places (avec à chaque fois 7 à 8% de capacité supplémentaire liée aux tribunes officielles ou à la presse).